mercredi 16 septembre 2009

Un amoureux, sinon rien ...

Pour le moment, mon quadra à moquette a disparu dans les profondeurs du ouèbe... pitêtre est-ce mieux ainsi ?... En effet, s'il m'avait fallu me remettre à conjuguer le conjugo, qu'aurais-je fait de mes amants ?

_ Frédéric, que j'attache et torture gentiment...
_ Benoît, qui dès la porte refermée, s'abat sur moi telle la foudre et me laisse pantelant, exténué mais ravi des coups terribles de son marteau de Thor...
_ Donatien, qui me tient la main dans le noir au cinéma, me laisse des petits mots sur la table, me mordille l'oreille et me susurre des absurdités...

Devrais-je y renoncer ? Mon amoureux peut-il être l'alpha et l'omega de mes besoins exzizistentiels ? Ou tout peut-il se ménager par une gestion raisonnée de mon agenda ?

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