lundi 15 février 2010

Pages oubliées ...

[...] Entendre interpréter, dans le grand salon aux lourdes tentures violines de velours damassé, de la duchesse de P. , " Voi che sapete ", l'air de Chérubin, par le pétomane à la mode que s'arrachaient les cénacles musicaux parisiens, me laissa songeur, tandis qu'autour de moi les dames se pâmaient d'aise, ravies... Il enchaîna avec Sambre et Meuse, un répertoire plus habituel, au grand plaisir des messieurs qui se trouvaient là en terrain de connaissance...

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